Historique
CHAMPOUSSIN. En Suisse.
Dans une superbe vallée, face aux Dents-du-Midi, un nouveau village prend racine à 1600 m. d'altitude.
Le site choisi par les constructeurs de CHAMPOUSSIN est privilégié : beauté des paysages, abondance des cours d'eau et, surtout, ensoleillement et enneigement exceptionnels. Le respect de la nature et du caractère traditionnel de la Vallée dicte la conception du village dont l’architecture s'harmonise avec les formes et les teintes de la montagne. Ce respect des particularités et du cachet de la région répond aussi aux besoins de la vie moderne : accès routier, confort, diversité des services et des loisirs. Depuis 1997, une chapelle simple et majestueuse, lieu de culte et de rencontre, veille sur cette station sortie des alpages 20 ans plus tôt. Elle contribue à donner une âme et une personnalité bien trempée à Champoussin, station de montagne en pleine expansion. En effet, chaque année de nouvelles constructions soulignent le dynamisme et la clairvoyance de ses responsables.
Bref historique
En juin 1972 la Société pour le développement sportif et touristique S.A., S.D.S.T. dépose officiellement les plans de quartier des sites de Champoussin et des Bochasses en vue d'obtenir l'approbation de la Commune de Val-d'Illiez et de l'Etat du Valais. Le 12 septembre 1973 le Conseil d'Etat du Canton du Valais accepte le plan de quartier.
Le 22 janvier 1974, la Société des Installations Mécaniques Crosets – Portes du Soleil – Val-d'Illiez, au bénéfice d'une priorité de construction des remontées mécaniques sur la Commune de Val-d'Illiez, visite le site, plus particulièrement le domaine skiable. Cette visite en compagnie des spécialistes des bureaux ACAU à Genève et de M. David Ferdman de Genève également, met en évidence la validité des possibilités de ski dans ce secteur. Ceci est d'autant plus valable que les installations à créer au plus tôt possible, permettraient la liaison Morgins – Les Crosets. La plus grande partie des terres est déjà la propriété de sociétés appartenant à M. David Ferdman, promoteur des stations projetées de Champoussin et des Bochasses.
La première construction démarre en 1976. Un lieu-dit donne son nom à la future station et Champoussin sort de terre. Quatre ans plus tard, une première tranche se termine, comprenant un hôtel, cinq immeubles et quelques chalets individuels. Les fonds propres et les crédits suffisent alors à régler les factures.
Dès 1980 le rythme de construction est plus rapide que les ventes d'appartements et les difficultés de trésorerie apparaissent. Un nouveau plan financier et alors mis en place pour soutenir l'avance rapide des constructions.
Au printemps 1982, la société a épuisé ses fonds propres et les banques referment leur parapluie. Pour assurer l'avenir, le conseil d'administration de la SDST quête un nouveau partenaire. Des investisseurs immobiliers et des gérants du tourisme sont contactés, mais sans succès. Dès lors la faillite de la SDST devient inévitable. Elle est déclarée le 9 mars 1983. Celle-ci entraîne des difficultés des remontées mécaniques de Téléchampoussin SA. Une assemblée publique d'information est convoquée pour le vendredi 16 novembre 1990. Le but avoué de cette assemblée est d'intéresser la population à participer financièrement à la société. Cette tentative n'est pas fructueuse et Téléchampoussin S.A. est déclarée en faillite le 6 mai 1991. Les installations et l'exploitation des remontées mécaniques sont reprises par Télémorgins SA.
Une vente aux enchères des appartements, qui trouvent rapidement preneurs, a lieu le 11 décembre 1986. Les nouveaux copropriétaires croient en Champoussin et se regroupent en une Association des copropriétaires avec un administrateur et un concierge. Les années sombres sont du domaine du passé et des nouvelles activités, animations et attractions sont venues garnir la palette des loisirs que Champoussin offre à ses hôtes en été et en hiver. Des commerçants dynamiques et innovateurs conjuguent leurs efforts pour que Champoussin soit une station vivante et accueillante.
Le site choisi par les constructeurs de CHAMPOUSSIN est privilégié : beauté des paysages, abondance des cours d'eau et, surtout, ensoleillement et enneigement exceptionnels. Le respect de la nature et du caractère traditionnel de la Vallée dicte la conception du village dont l’architecture s'harmonise avec les formes et les teintes de la montagne. Ce respect des particularités et du cachet de la région répond aussi aux besoins de la vie moderne : accès routier, confort, diversité des services et des loisirs. Depuis 1997, une chapelle simple et majestueuse, lieu de culte et de rencontre, veille sur cette station sortie des alpages 20 ans plus tôt. Elle contribue à donner une âme et une personnalité bien trempée à Champoussin, station de montagne en pleine expansion. En effet, chaque année de nouvelles constructions soulignent le dynamisme et la clairvoyance de ses responsables.
Bref historique
En juin 1972 la Société pour le développement sportif et touristique S.A., S.D.S.T. dépose officiellement les plans de quartier des sites de Champoussin et des Bochasses en vue d'obtenir l'approbation de la Commune de Val-d'Illiez et de l'Etat du Valais. Le 12 septembre 1973 le Conseil d'Etat du Canton du Valais accepte le plan de quartier.
Le 22 janvier 1974, la Société des Installations Mécaniques Crosets – Portes du Soleil – Val-d'Illiez, au bénéfice d'une priorité de construction des remontées mécaniques sur la Commune de Val-d'Illiez, visite le site, plus particulièrement le domaine skiable. Cette visite en compagnie des spécialistes des bureaux ACAU à Genève et de M. David Ferdman de Genève également, met en évidence la validité des possibilités de ski dans ce secteur. Ceci est d'autant plus valable que les installations à créer au plus tôt possible, permettraient la liaison Morgins – Les Crosets. La plus grande partie des terres est déjà la propriété de sociétés appartenant à M. David Ferdman, promoteur des stations projetées de Champoussin et des Bochasses.
La première construction démarre en 1976. Un lieu-dit donne son nom à la future station et Champoussin sort de terre. Quatre ans plus tard, une première tranche se termine, comprenant un hôtel, cinq immeubles et quelques chalets individuels. Les fonds propres et les crédits suffisent alors à régler les factures.
Dès 1980 le rythme de construction est plus rapide que les ventes d'appartements et les difficultés de trésorerie apparaissent. Un nouveau plan financier et alors mis en place pour soutenir l'avance rapide des constructions.
Au printemps 1982, la société a épuisé ses fonds propres et les banques referment leur parapluie. Pour assurer l'avenir, le conseil d'administration de la SDST quête un nouveau partenaire. Des investisseurs immobiliers et des gérants du tourisme sont contactés, mais sans succès. Dès lors la faillite de la SDST devient inévitable. Elle est déclarée le 9 mars 1983. Celle-ci entraîne des difficultés des remontées mécaniques de Téléchampoussin SA. Une assemblée publique d'information est convoquée pour le vendredi 16 novembre 1990. Le but avoué de cette assemblée est d'intéresser la population à participer financièrement à la société. Cette tentative n'est pas fructueuse et Téléchampoussin S.A. est déclarée en faillite le 6 mai 1991. Les installations et l'exploitation des remontées mécaniques sont reprises par Télémorgins SA.
Une vente aux enchères des appartements, qui trouvent rapidement preneurs, a lieu le 11 décembre 1986. Les nouveaux copropriétaires croient en Champoussin et se regroupent en une Association des copropriétaires avec un administrateur et un concierge. Les années sombres sont du domaine du passé et des nouvelles activités, animations et attractions sont venues garnir la palette des loisirs que Champoussin offre à ses hôtes en été et en hiver. Des commerçants dynamiques et innovateurs conjuguent leurs efforts pour que Champoussin soit une station vivante et accueillante.
Georges Schaller, président de la copropriété de 2001 à 2006.
